Notre objectif n’est pas de mettre tout le fardeau sur les épaules d’élus locaux de villes où il y a déjà énormément de précarité. Il est de dire que sans eux et sans leur rôle moteur, on continuera à faire perdurer les bidonvilles. Il faut la mobilisation politique des mairies et le CNDH Romeurope cherche à les convaincre en montrant les meilleures pratiques de terrain pour résorber les bidonvilles et squats. Nous nous adressons à des élus qui vont prendre leur mandat et qui auront donc du temps pour agir. La perception par les électeurs d’une expulsion d’un bidonville où les gens viennent se réinstaller six mois après est la preuve d’une faiblesse de l’action
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