« Dès le début, on lit que “le meurtre d’un enfant par ses parents ou l’un de ses proches provoque toujours une grande émotion et interroge…” Ce contexte émotionnel, les travailleurs sociaux le connaissent bien et essayent en engageant le travail d’évaluation de s’en protéger. Ils tentent de passer de la subjectivité d’une information, parfois erronée, parfois même diffamatoire pour essayer d’atteindre une vision objectivée de la situation dans laquelle l’enfant évolue.
Nous avons regardé de plus près ce rapport. Il nous confirme que ce n’est pas une fausse information. En résumé, qu’apprenons-nous ?
En première partie, ce rapport répond à une commande qui aurait dû, “si tout allait bien dans le meilleurs des mondes”, être renseignée par l’Obser
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