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« L’Europe plus volontariste que l’État français »

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La politique du gouvernement en matière de logement social aurait des effets délétères sur les publics précaires et sur les bailleurs. Analyse de Pierre Madec, économiste à l’Observatoire français des conjonctures économiques, et de Cédric Van Styvendael, président de Housing Europe.

« On est sur des réductions budgétaires massives. » Pierre Madec, économiste à l’Observatoire français des conjonctures économiques (OFCE) estime qu’il y a « une grande cohérence » des mesures gouvernementales en matière de logement social : celle de faire des économies. « La baisse du montant de l’aide personnalisée au logement (APL) de 5 euro, la mise en place de la réduction du loyer de solidarité (RLS) [appliquée par les bailleurs sociaux aux locataires dont les ressources sont inférieures à un plafond, NDLR], la contemparéinéisation de l’APL repoussée à janvier 2020 : tout cela fait un peu moins de 4 milliards d’économies et 20 à 25 % du budget consacré aux APL chaque année, évalue l’économiste. Il y aura d’autres économies à attendre sur le poste APL avec la mise en place du revenu universel d’activit

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