Le tribunal d’instance de Bordeaux doit décider, le 17 octobre, de l’expulsion avant la trêve hivernale d’un squat dédié aux femmes sans-abri. Du nom de Mères veilleuses, ce squat, ouvert en avril par l’association Le Squid, accueille une vingtaine de femmes françaises ou demandeuses d’asile, ainsi que leurs enfants. Lors du procès, le 20 septembre, le propriétaire des lieux a demandé des dommages et intérêts.
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?