L’examen du projet de loi relatif à la bioéthique a commencé, le 24 septembre, en séance publique à l’Assemblée nationale. Composé de 32 articles, le texte recouvre une large gamme de sujets majeurs, dont les greffes d’organes, les tests génétiques, l’intelligence artificielle, les cellules souches embryonnaires. Néanmoins, c’est la question très sensible de l’ouverture de la procréation médicalement assistée (PMA) aux couples de lesbiennes et aux femmes célibataires qui risque de donner lieu à de vifs débats.
Devant un hémicycle clairsemé, les trois ministres qui portent ce projet de loi, Agnès Buzyn (Santé), Nicole Belloubet (Justice) et Frédérique Vidal (Recherche), et les rapporteurs se sont succédé à la tribune pour défendre ce texte à haut risque. L’examen de l’article 1 ouvrant l’assist
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