S’il est déjà parfois difficile de se frayer un chemin dans la capitale pour les valides – d’après une étude d’Ile-de-France « mobilités », 22 % des Franciliens rencontrent une gêne temporaire ponctuelle dans la réalisation de leurs déplacements –l’expérience n’en est que plus éprouvante pour les personnes à mobilité réduite (PMR). A commencer par le gros point noir en la matière, mis en lumière par l’association APF France handicap à la rentrée 2018. Lors d’un « happening », l’association avait recouvert les panneaux extérieurs de plusieurs stations de métro d’un plan détaillant l’accessibilité du réseau. Résultat : une seule ligne, la 14, reliant Olympiades à Saint-Lazare, est accessible (quand les ascenseurs ne sont pas en panne), plus une dizaine de stations sur le
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