« La question associative est une forme d’impensé de la République. Elle est partout dans le quotidien des citoyens, plébiscitée avec deux millions de bénévoles et, en même temps, est invisible, dans les angles morts des politiques publiques. Nous plaidons pour que le fait associatif soit pensé comme une économie souveraine, consubstantielle de la république démocratique et sociale. Une politique associative qui ne soit pas une économie par morceaux, par petites mesures ou par secteurs, comme c’est souvent le cas aujourd’hui, mais transversale à l’ensemble des politiques publiques », affirme Philippe Jahshan, président du Mouvement associatif. « Gabriel Attal, le secrétariat d’Etat chargé de la vie associative, a présenté sa feuille de route en novembre 2018, mais on est loin du compte par rapport à l’enjeu de la centralité d
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