Si les lois de 2007 et 2016 repositionnent la place des parents dans la protection de l’enfant en partenaires essentiels, dans les faits, ce principe n’est pas une affaire aisée. Ainsi au quotidien, le travail avec les parents conduit souvent à des incompréhensions, des malentendus ou encore à un véritable dialogue de sourds. Face à cette réalité, le Centre d’ouverture psychologique et sociale (Copes), organisme de formation, et l’Association française d’information et de recherche sur l’enfance maltraitée (Afirem) ont organisé cette journée le 3 juin dernier pour aborder cette question sous l’angle de la psycho-clinique. Plusieurs psychologues ont apporté leur vision notamment de la « famille à l’aide sociale à l’enfance » (ASE), du « changement de posture professionnelle en protection de l’enfant » à travers l’approche médiation o
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