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« Les ESMS s’inquiètent des effets de la violence, et non des causes »

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Pour faire face aux accès de violence des personnes accueillies, les établissements du secteur doivent renouer, selon le psychologue Michel Brioul, avec leurs missions éducatives.
Y a-t-il une montée des actes de violence des usagers ?

La violence n’est pas « plus violente » mais il y en a de plus en plus en quantité, du fait que les ESMS [établissements sociaux et médico-sociaux] accueillent des populations davantage impactées par des pathologies sociales et identitaires, des difficultés psychosociales, que par le passé.

Quelles structures sont concernées ?

Tous les établissements, mais en particulier ceux qui accueillent des jeunes, car ils présentent ces mêmes pathologies de l’identité, de la socialité.

Et dans le secteur du grand âge ?

Il y a de la violence qui est d’une autre nature car liée à des troubles neurologiques. Mais il n’y a pas de violence gratuite. Toute violence est l’expression d’une pathologie, neurologique dans les Ehpad ou psychosociale dans les autres établissements.

Comment comprendre cette violence pour mieux la gérer ?

Les établissements médico-sociaux se préoccupent actuellement da

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