La violence n’est pas « plus violente » mais il y en a de plus en plus en quantité, du fait que les ESMS [établissements sociaux et médico-sociaux] accueillent des populations davantage impactées par des pathologies sociales et identitaires, des difficultés psychosociales, que par le passé.
Tous les établissements, mais en particulier ceux qui accueillent des jeunes, car ils présentent ces mêmes pathologies de l’identité, de la socialité.
Il y a de la violence qui est d’une autre nature car liée à des troubles neurologiques. Mais il n’y a pas de violence gratuite. Toute violence est l’expression d’une pathologie, neurologique dans les Ehpad ou psychosociale dans les autres établissements.
Les établissements médico-sociaux se préoccupent actuellement da
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