Un pas en avant, deux pas en arrière ? Il a suffi d’une déclaration du Premier ministre pour que l’optimisme qui avait suivi la remise du rapport « Libault » laisse la place, chez certains représentants du secteur du grand âge à la colère, à l’inquiétude, voire à un air de déjà-vu et déjà-vécu. A l’issue du séminaire du 29 avril avec le gouvernement et des représentants de la majorité, Edouard Philippe a fait savoir qu’une « loi de programmation sur la dépendance » serait présentée « au cours de l’automne » et « devra permettre de trouver les réponses financières, organisationnelles, de formation ». Jusque-là, ça va. Mais le Premier ministre a aussi déclaré : « Nous allons créer finalement, non pas une nouvelle branche de la sécurité sociale, non pas un nouveau risque, mais un dispositif extrêmement puissant.�
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