Recevoir la newsletter

La frontière franco-italienne, « zone de non-droit »

Article réservé aux abonnés

L’Association nationale d’assistance aux frontières pour les étrangers (Anafé) a rendu public, le 21 février, son rapport basé sur deux ans d’observation à la frontière franco-italienne. Entraves au droit d’asile, non-prise en charge des mineurs et autres pratiques illégales y sont épinglées.

« L’ESPACE SCHENGEN EST MORT À CET ENDROIT. Les traités internationaux que la France a signés aussi. C’est une zone de non-droit. Et c’est systématique, quotidien, à la vue de tout le monde. » Loïc Le Dall, membre de l’Anafé à Nice, n’a pas de mots trop virulents pour qualifier la politique migratoire appliquée à la frontière franco-italienne. Si cette frontière s’étale sur plus de 500 kilomètres, « de Menton à Vintimille […] les constats sont les mêmes ». Ainsi est introduit le rapport de l’Anafé présenté le 21 février. Basé sur deux années d’observation (2017-2018), le rapport est intitulé « Persona non grata, Conséquences des politiques sécuritaires et migratoires à la frontière franco-italienne ». Il décrit les pratiques illégales et les violations des droits des étrangers dans la région

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Focus

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15