L’Union nationale des centres communaux d’action sociale (Unccas) s’est posé la question en décembre, en rencontrant les services du Premier ministre. Les maires étant présidents des centres communaux d’action sociale, on s’est demandé l’utilité de faire ce qu’ils font déjà, à savoir des réunions publiques ouvertes. Mais notre spécificité est d’être en lien avec les corps intermédiaires : le conseil d’administration d’un CCAS est composé pour moitié d’élus municipaux, pour moitié d’associations de différents secteurs des politiques sociales. Et beaucoup de personnes ne vont pas participer au grand débat parce qu’elles n’ont pas la possibilité physique de le faire, par peur de stigmatisation, par manque d’habitude, de confiance…
Que retrouve-t-on dans les réunions publiques ? Des élus de la majorité, des gens de l’opposition, des spécialistes des comités de quartier qui participent à toutes les réunions publiques et sont des habitués de la prise de parole. Nous avons
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