« DANS CE LIVRE, JE TÉMOIGNE DE MON EXPÉRIENCE, ET DE MON EXPÉRIENCE SEULEMENT », prévient, d’emblée, Mathilde Basset. Pas question, donc, pour cette infirmière de 25 ans, de discréditer les professionnels du secteur ou de faire de l’« Ehpad bashing ». D’ailleurs, elle le dit clairement : « Il y a d’autres Ehpad où cela fonctionne mieux. » C’est même dans un de ceux-là qu’elle a fait son stage de fin d’études, un établissement du Morbihan qui a le label « Humanitude », gage a priori de respect. « J’ai eu du plaisir à y travailler pendant deux mois. L’équipe vivait au rythme des résidents et respectait leurs habitudes. Etre en collectivité n’impose pas de briser leur façon de vivre et de tout uniformiser », affirme la jeune femme. Elle va vite déchanter quand elle va qu
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