SI L’ACCES AU LOGEMENT DES PERSONNES SOUFFRANT DE TROUBLES PSYCHIQUES est déjà une problématique en soi, leur maintien au domicile doit être pensé de concert, au risque de les exposer à une aggravation des troubles en cas d’expulsion et de retour à l’hébergement d’urgence. « L’habiter est un processus actif », avance Anne Maréchal, directrice adjointe de l’Association dijonnaise d’entraide des familles ouvrières (Adefo). « On ne peut pas simplement placer l’individu dans un appartement. En cas de mal-logement, cela perturbera encore plus une personne atteinte de troubles mentaux. »
Le réseau de santé Namur, en Wallonie, propose des structures d’hébergement variées, supervisées par deux équipes mobiles, comprenant toutes deux un binôme psychiatre/travailleur social. L’une intervient en tem
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