ll n’existe pas de nomenclature stabilisée permettant des recueils homogènes sur le territoire. A cela s’ajoute un problème d’expression : certaines personnes sont victimes sans en être conscientes, ou n’ont pas la capacité de se plaindre. D’autres redoutent une rétorsion. On est dans la racine du phénomène : pour s’exprimer, il doit rencontrer une écoute. La première maltraitance, c’est lorsque le vécu ne peut pas s’exprimer. Un établissement où les événements indésirables se disent n’est pas le plus maltraitant !
Il faut soutenir l’expression de la plainte, et garantir que les acteurs seront coordonnés et réactifs pour en tirer les conséquences. Beaucoup de personnes sont susceptibles d’être à l’écoute : les acteurs «
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