« EN 2017, UNE DEMANDE SUR DEUX AU 115 ÉMANE D’UNE FAMILLE, lâchait Florent Gueguen, directeur général de la FAS, en guise d’introduction à son intervention à la journée d’étude. La précarité ne cesse de s’accroître en France, et elle touche de plus en plus d’enfants. » Sur le terrain, le constat est le même. La fédération assiste, depuis quelques années, à un déferlement de familles dans son réseau d’associations. Bien qu’acteurs non spécialisés au titre de la protection pour l’enfance, les établissements doivent faire face à des questions concernant l’accès aux besoins élémentaires, aux droits, à la santé ou encore à la scolarité d’enfants qui sont parfois ballottés d’un hôtel à un foyer d’urgence. Des problématiques
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