DES ENTRETIENS « A CHARGE », DES QUESTIONS ENCORE EMPRUNTES DE STEREOTYPES ou basées sur « une vision normative » de ce que serait l’homosexualité : selon Aides et l’Ardhis, la demande d’asile au motif des persécutions liées à l’orientation sexuelle ou à l’identité de genre relève encore aujourd’hui du « parcours du combattant ». Dans leur rapport écrit conjointement et publié le 27 novembre, les deux associations qui militent notamment pour les droits des migrants LGBT, mettent en cause les officiers de l’Office français de protection des réfugiés et apatrides (Ofpra). « Ces constats persistants viennent souligner les limit
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