Si les professionnels n’ont pas les clés pour développer eux-mêmes le pouvoir d’agir, ils auront du mal à accompagner les usagers dans ce sens-là. Il y a souvent un décalage entre ce que l’on pense faire et ce que l’on fait en réalité. Pour exemple, selon des statistiques publiées en 2015 lors des états généraux du travail social, alors que 81 % des professionnels et étudiants estimaient que les personnes accueillies-accompagnées étaient associées à la construction du projet individuel, 67 % de celles-ci répondaient qu’elles n’avaient pas été associées[1]. L’expérimentation du pouvoir d’agir va permettre de toucher du doigt ce décalage et de partir sur d’autres possibles.
Les personnes accompagné
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