BAPTISÉE « HABITER LE 4E ÂGE AU XXIE SIÈCLE », cette étude regroupe le témoignage de 4 000 personnes âgées de 60 ans et plus, habitant en France, en Italie, en Espagne ou en Allemagne. Dans ces quatre pays, deux personnes interrogées sur trois admettent être préoccupées par leur état de santé, sans pour autant vraiment anticiper les conséquences de leur éventuelle future dépendance. Seulement 22 % confient avoir réfléchi à un lieu où passer leurs vieux jours en cas de perte d’autonomie.
Le fait que peu de séniors européens réfléchissent à un endroit où passer la fin de leur vie en cas de dépendance s’explique, d’après l’étude, « par un fort attachement au maintien à domicile ou à une solution “comme à la maison” ».
Pour choisir leur établissement, même si les soins restent la préoccupation majeure, les seniors portent une attenti
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