C’est une mission très différente de celle que j’occupais à la Fnath et, à la fois, tout à fait dans la continuité. La Fnath défend et accompagne, d’un point de vue juridique et administratif, les personnes qui ont eu un accident de la vie – à la suite, par exemple, d’une maladie professionnelle. Je m’occupais des questions de défense des droits collectifs auprès des parlementaires et du gouvernement. Après 12 ans à la Fnath, l’idée était de changer d’horizon tout en gardant cette logique et cette proximité avec l’accompagnement des personnes en difficulté, quelles qu’en soient les raisons. A la Fnath, c’était surtout le handicap ; à l’Unafo, on croise des problématiques différentes, avec notamment les foyers de jeunes travailleurs et de travailleurs
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