Quand j’étais encore chef d’établissement, il y a trois ans, à l’hôpital Saint-Jean-de-Dieu à Lyon, je n’avais pas du tout perçu cette situation parce que dans mon établissement la pédopsychiatrie était plutôt bien développée. De même, dès qu’un poste se libérait, il y avait des préemptions presque un an à l’avance. A Lyon, la pédopsychiatrie a toujours eu une place bien reconnue, bien établie, bien plus favorable que dans beaucoup d’autres villes. Mais j’ai été régulièrement alerté par des collègues qui avaient du mal à recruter. Et effectivement, ces dernières années, une série de rapports a pointé du doigt l’état de la pédopsychiatrie.
De même, les universitaires ont tiré la sonnette d’alarme indiquant que dans un certain nombre d’universités il n�
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