Globalement, je suis plutôt en phase avec les conclusions de l’observatoire notamment quand il évoque le poids croissant des allocations dans nos dépenses ou le poids administratif de plus en plus lourd pour les allocataires, et ce au détriment de l’accompagnement humain. Ce qui a pour conséquence effectivement un effritement des marges de manœuvre des départements. Celui-ci est essentiellement dû à l’augmentation des allocations individuelles de solidarité et le poids croissant des mineurs non accompagnés dans la protection de l’enfance. A cela il faut ajouter un élément que l’ODAS n’a pas relevé : les personnes à droit incomplet.
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