Aujourd’hui, la situation n’est pas comparable à celle d’il y a dix ans. Le recours au religieux chez les personnes accueillies dans les établissements et services sociaux et médico-sociaux [ESSMS] et la visibilité du religieux dans le secteur ne sont pas en augmentation. Depuis les attentats de 2015, la lutte contre la radicalisation, la création d’un « Etat d’urgence », les travailleurs sociaux ont été amenés à devoir repérer chez les jeunes accueillis dans les structures ceux qui se référent à l’islam de façon préoccupante. A partir des attentats, on peut dire qu’il y a eu un télescopage entre cette problématique de la
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?