« La décision du préfet est tombée sans aucune explication, explique Patrick Hauvuy, directeur du pôle « prévention, hébergement et insertion » de l’association Accompagnement lieux d’accueil (ALC) à Nice. Avant de déposer ces dossiers, nous avons pourtant effectué un travail titanesque pour les faire cadrer avec les critères des arrêtés. On a travaillé en amont avec la direction départementale de la cohésion sociale : on a pu transformer cinq places en CHRS [centre d’hébergement et de réinsertion sociale] pour qu’elles soient réservées aux parcours de sortie, ce qui était crucial pour leur permettre de survivre avec seulement 3
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