La Miviludes reçoit 2 500 signalements de dérives sectaires par an dont « plus de la moitié d’entre eux le sont dans le domaine de la santé », détaille Chantal Gatignol, conseillère santé au sein de la Miviludes. Et d’ajouter : « Toutefois, il est compliqué de chiffrer les dérives sectaires dans les établissements sanitaires et médico-sociaux car nous n’avons que peu de témoignages. Difficile en effet pour un directeur d’établissement de confier qu’il y a des dérives au sein de sa maison de retraite par exemple. »
S’il n’existe aucune définition juridique de la secte, selon la Miviludes, « la dérive sectaire est un dévoiement de la liberté de pensée, d’opinion ou de religion qui porte atteinte aux droits fondamentaux, à la sécurit
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?