Nous n’avons pas de demandes directes d’adhérents sur ce point. Je pense que cela vient du fait que beaucoup sont des directeurs d’établissement, pour une minorité de services à domicile. En établissement, la vigilance est très importante et le nombre de professionnels au contact des résidents rend l’émergence du phénomène plus difficile. Le risque existe, mais il est beaucoup plus important à domicile, avec l’isolement, la fragilité, l’emprise mentale et la mise sous influence.
Nous avons effectivement fait passer l’information à nos adhérents sur la base notamment du questionnaire d’évaluation des risques d’abus, de maltraitance et de négligence sur une personne âgée. L
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