Appelant à « affronter le tabou », et « l’urgence de la situation », le Conseil économique, social et environnemental (CESE) s’est immiscé dans le débat – particulièrement sensible comme en témoigne l’intérêt de l’opinion pour l’emblématique affaire « Vincent Lambert » – de la fin de vie.
Le CESE s’est prononcé favorablement sur la légalisation de l’euthanasie tout en évitant scrupuleusement l’usage du terme. L’assemblée préconise d’ajouter « aux droits aujourd’hui reconnus à la personne malade par la loi celui de pouvoir demander au médecin, y compris à travers la rédaction de directives anticipées ou la désignation d’une personne de confiance, de recevoir, dans des conditions strictement définies, une sédation profonde expressément létale ». Cet avis, intitulé « Fin de vie : la France à l’heure
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