Cela dépend des collectivités locales. Il y a trois attitudes bien différentes.
D’abord, celles qui sont bien conscientes du côté indispensable des associations et qui les soutiennent comme elles peuvent, malgré des moyens budgétaires beaucoup plus limités. Ensuite, celles qui voient que l’association est en difficulté, qu’il faudrait l’aider mais qui se tourne vers le secteur privé-lucratif qui propose le même service sans dépenser d’argent.
Et enfin, celle qui se plaignent du désengagement financier de l’Etat et avec qui nous nous serrons les coudes.
Avant la crise économique, tout allait bien. C’était simple : à un besoin, il y avait une réponse associative non lucrative et des financem
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