Dans un avis publié le 27 mars, la Commission nationale consultative des droits de l’Homme (CNCDH) s’inquiète du nombre croissant de mineurs privés de liberté, aussi bien dans les quartiers et établissements pénitentiaires pour mineurs et centres éducatifs fermés relevant de l’administration pénitentiaire, que dans les centres de rétention administrative et zones d’attente réservés aux étrangers. Cette situation est d’abord le résultat, selon elle, d’une « surpénalisation du comportement des mineurs ». « La création de nouvelles infractions ou circonstances aggravantes et le recours accru à des procédures accélérées contribuent à une réponse pénale de plus e
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?