« Dans le cas de la trisomie 21, le déficit mental est associé à des signes physiques particuliers, souligne Grégoire François-Dainville, directeur général de l’Institut Lejeune (centre médical spécialisé dans la trisomie 21 et les déficiences intellectuelles d’origine génétique). Contrairement à la surdité ou à certaines maladies psychiques, c’est un handicap qui se voit. Vous le portez sur votre visage et donc la question du regard des autres est beaucoup plus forte que pour d’autres syndromes. »
« Avant la médicalisation de la trisomie 21 en France, c’est-à-dire jusque dans les années 1960, la fréquence de la maladie était de 1 sur 700 pendant la grossesse, analyse de son côté Rodolphe Dard, généticien au centre hospitalier intercommunal (CHI) de Poissy-Saint-G
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