Recevoir la newsletter

Mieux protéger pour mieux connecter

Article réservé aux abonnés

Alors que le financement des actes de téléconsultation a basculé dans le droit commun avec l’article 54 du projet de loi de financement de la sécurité sociale, la télésurveillance fait toujours l’objet d’expérimentations. Les 9e assises des technologies numériques de la santé ont été l’occasion de revenir sur les opportunités et les risques de ce nouvel Eldorado des entreprises du médico-social.

L’intelligence artificielle est en pleine crise de confiance, en témoigne le lynchage de Mark Zuckerberg devant le Congrès américain pour n’avoir pas régulé manuellement les contenus postés pendant la campagne présidentielle. Dans un contexte de défiance envers les algorithmes et de méfiance quant à la destination des données collectées par les objets connectés, la télésurveillance médicale pourrait bien connaître un accueil en demi-teinte.

Conscient du problème, David de Anorim, directeur innovation du groupe La Poste, y voit néanmoins un moyen de faire face au vieillissement de la société, avec « des maisons connectées qui permettent le maintien à domicile des seniors grâce à des outils comme les détecteurs

La suite est réservée aux abonnés

Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques

S'abonner

Cet article est réservé aux abonnés

Actualités

S'abonner
Div qui contient le message d'alerte
Se connecter

Identifiez-vous

Champ obligatoire Mot de passe obligatoire
Mot de passe oublié

Vous êtes abonné, mais vous n'avez pas vos identifiants pour le site ?

Contactez le service client abonnements@info6tm.com - 01.40.05.23.15