Oui, même si poser la plateforme comme un moyen de faire face à la crise me rend triste. Mais c’est forcément dans de nouveaux modèles d’accompagnement qu’on trouvera la solution pour demain, aux confluents de contraintes économiques publiques, mais aussi de la difficulté pour certaines personnes âgées de financer leur accompagnement, ou parce qu’elles souhaitent rester à domicile. On a longtemps fonctionné avec des modèles où on voulait des places avec des combinaisons improbables et des coordinations inefficaces. J’aimerais qu’on parle moins de places et plus de solutions. Le modèle économique en serait une conséquence heureuse, mais pas la motivation première.
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