« Dans un contexte de maîtrise des dépenses publiques, le gouvernement [a] décidé de soutenir le secteur [social et médico-social], en fixant un taux d’évolution de la masse salariale de 1 % », a indiqué la direction générale de la cohésion sociale, le 23 février, au soir de la conférence salariale des établissements et services sociaux et médico-sociaux privés à but non lucratif.
« Inacceptable », répondent les fédérations d’employeurs de l’aide et des soins à domicile(1). « Loin de s’améliorer, affirment-elles dans un communiqué diffusé le 27 février, la condition salariale au sein de la branche reste sinistrée. » Elles rappellent que les neuf premiers niveaux de la catégorie A et les huit premiers niveaux de la catégorie B de la grille salariale conventionnelle sont sous le SMIC. « Concrètement, cela signifie que plus de la moitié des salariés de la branche […] ne peuvent espérer
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