Les « nouveaux indicateurs de richesses » visent à mesurer le développement de la France autrement que par le produit intérieur brut (PIB). Le gouvernement vient de publier le troisième rapport annuel, à partir des données de 2016 (excepté les inégalités de revenus, mesurées à partir de données de 2015).
En 2015, les 20 % des individus les plus aisés détenaient 38,3 % de la masse totale des niveaux de vie par unité de consommation (NVUC), soit 4,4 fois plus que les 8,8 % des NVUC détenus par les 20 % les plus pauvres, selon l’indicateur des inégalités de revenus. Ce ratio a crû de 0,5 point entre 2002 et 2012, puis légèrement régressé en 2013, du fait de la diminution des revenus du patrimoine et de la hausse des impôts directs et sur les placements. Enfin, depuis 2014, il est quasiment stable.
On apprend également que le taux de
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