Ces dernières années, « pléthore de rapports » ont été consacrés à la santé mentale, mais ils « n’ont donné lieu qu’à peu d’actions concrètes », a taclé Agnès Buzyn, la ministre des Solidarités et de la Santé, en clôture du Congrès de l’encéphale, vendredi 26 janvier à Paris. « La psychiatrie ne sera plus le parent pauvre […], car j’en fais une priorité de santé », a-t-elle promis, présentant dans un long discours une série de mesures « d’urgence » pour ce secteur, inspirées de recommandations de professionnels.
Ce « plan d’action » vise à « sortir d’une vision stigmatisante » de la maladie mentale, tout en concevant la prise en charge « dans toutes ses dimensions : le soin tant psychiatrique que somatique, l’inclusion sociale, la réinsertion e
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