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Après 12 jours de mobilisation des surveillants pénitentiaires – le mouvement a débuté à la suite de l’agression à la prison de Vendin-le-Vieil (Pas-de-Calais) de trois gardiens par un détenu radicalisé –, le syndicat majoritaire Ufap-Unsa (40 %) et la ministre de la Justice ont signé, le 29 janvier, un accord de fin de conflit axé sur quatre points principaux.

Renforcer la gestion des détenus radicalisés

Afin de permettre une meilleure prise en charge de ces détenus particuliers, Nicole Belloubet s’est engagée à :

→ dédoubler la capacité d’évaluation des détenus terroristes et radicalisés pour atteindre 250 détenus par an ;

→ mettre en place un quartier d’évaluation spécifique pour évaluer la dangerosité des détenus radicalisés de droit commun ;

→ créer 1 500 places dans des quartiers totalement étanches permettant de prendre en charge des détenus radicalisés ou prosélytes ;

→ créer, dès la fin 2018, 450 places pour gérer les profils dangereux.

Améliorer les conditions de travail

Les matériels de sécurité seront renouvelés (gilets pare-balles, équipements de protection, alarmes portatives…) et améliorés (acquisi

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