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Une nouvelle méthode pour panser toutes les plaies

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Introduite par la loi « Taubira » du 15 août 2014, cette nouvelle forme de justice, additionnelle au procès pénal, cherche à restaurer les liens sociaux entre la victime d’une infraction, son auteur et la société tout entière. Deux visions complémentaires naissent en France : celle portée par l’association Citoyens et Justice et celle de l’Institut français pour la justice restaurative.

« J’aimerais qu’il prenne vingt ans. » Une phrase souvent prononcée par des victimes dans le cadre d’un procès pénal. Puis, à la sortie du prononcé du verdict, la presse se précipite pour leur demander si la sentence les satisfait. Pourtant, le droit français fait une stricte distinction entre l’action publique – procédure qui vise à déterminer la responsabilité délictuelle ou criminelle d’une personne et, le cas échéant, à lui appliquer une peine – et l’action civile – procédure parallèle qui définit l’étendue du préjudice subi par la victime d’une infraction pour lui verser des dommages et intérêts. Mais force est de constater que l’argent ne suffit pas toujours à réparer les dommages, puisqu’il lai

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