J’aurais pu titrer « Affaires sociales et questions intimes », ce qui reviendrait à considérer qu’il y a deux sortes de questions. Ce n’est pas le cas. La virgule dans le titre marque une continuité et souligne, justement, qu’il n’y a pas de rupture. Les questions sociales sont collectives, institutionnelles, syndicales, politiques, mais également intimes car inséparables de ce qui arrive à une personne sur le plan individuel, privé, sexuel, subjectif… L’inverse est également vrai. Dans les modifications qu’ils entraînent, un divorce, un licenciement, par exemple, peuvent et doivent être vus sous les deux angles idéologique et subjectif. C’est un fait
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