« Je me souviens de cette époque où, à l’entrée du CHRS [centre d’hébergement et de réinsertion sociale], le travailleur social me présentait l’éthylotest pour savoir si j’avais bu et si je pouvais monter dans la chambre. Parfois, même s’il faisait – 2 °C à l’extérieur, il me disait : « Tu restes dehors, le règlement, c’est pas d’alcool. » Cette pratique a disparu dans beaucoup d’endroits, mais ça existe encore », relate Jean-François Krzyzaniak. Cet ancien sans-domicile fixe est membre du groupe d’appui national « santé » de la Fédération des acteurs de la solidarité (FAS, nouveau nom de la FNARS). Il a témoigné lors d’un colloque organisé par cette dernière avec la Fédération Addiction, le 9 octobre à Paris, sous le thème « L’
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