« Lorsque l’accompagnement social, souvent en intervention sociale d’aide à la personne (ISAP), « patine », que l’usager va d’échec en échec, qu’il ne parvient plus à aller au bout de ses démarches, qu’il subit les multiples parcours d’insertion mis en place par nos institutions, qu’il fait preuve d’immobilisme, il y a fort à parier que l’usager souffre – outre des freins liés aux déficiences cognitives et autres difficultés de compréhension – d’une estime de soi basse qui ne lui permet pas de prendre appui pour rebondir. Il faut, à mon sens, se poser la question de l’estime de soi et accepter de travailler sur ce thème.
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