Dans un travail commandité par la direction générale de la cohésion sociale (DGCS), l’Association nationale des centres régionaux d’études, d’actions et d’informations en faveur des personnes en situation de vulnérabilité (Ancreai) a réalisé une étude pour mieux connaître les majeurs protégés, « au-delà des seules données de cadrage remontées régulièrement par les DDCS [directions départementales de la cohésion sociale] ou les tribunaux ». Car si les informations sur l’âge, le sexe, le cadre de vie et les ressources de la personne protégée « ont un réel intérêt, [elles] ne sont pas suffisantes pour décrire la variété des situations concernées », peut-on lire dans le rapport de l’Ancreai(1). « Il s’agit d’une étude plus fine que ce qui avait été fait jusqu’alors sur les
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