Les centres locaux d’information et de coordination gérontologique (CLIC) ont toujours été victimes d’une forme d’imprécision. Nés d’une circulaire en 2001(1), ils sont apparus aussitôt comme des structures à géométrie variable avec leurs trois niveaux de labellisation bien distincts. Selon la configuration médico-sociale sur laquelle ils s’implantaient, ils pouvaient n’être qu’un guichet d’accueil et d’information destiné aux plus de 60 ans (niveau 1), recevoir en plus un mandat du département pour l’évaluation de la situation des personnes (niveau 2) et aller jusqu’à exercer un rôle de coordination des acteurs locaux autour des situations (niveau 3). L’accueil sur le terrain a été au diapason. Leur facette « information » les a fait paraître tantôt comme une opportunité de franchi
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