« Nombre de jeunes de 16 ans et plus en situation de handicap sortent du circuit institutionnel et se retrouvent sans solution. Cela fait parfois des années que cela dure. Ils ont besoin d’un accompagnement individualisé pour retrouver une place dans la cité. » Graziella Civiltà se fait inlassablement l’avocate de ces laissés-pour-compte. Il y a trois ans et demi, elle a fondé pour eux l’association Cap’A Cité(1), qui a ouvert ses portes en septembre 2015 à Montpellier et accueille actuellement une dizaine de jeunes. La plupart ont de 17 à 22 ans, un âge où l’orientation professionnelle devient cruciale. Leurs difficultés : des troubles « dys » (dyslexie, dysphasie…), autistiques (Asperger) ou neurologiques (syndrome de Gilles de La Tourette). Les uns n’ont pas pu rester en IMPro (instituts médico-professionnels) en rais
Accédez en illimité à nos contenus et à nos newsletters thématiques
S'abonnerDéjà Abonné ?