Historiquement, pour les personnes présentant des troubles du neuro-développement, la question de l’habitat ne se posait pas. On prenait en charge. Au mieux, les personnes étaient hébergées et n’avaient pas le choix. Aujourd’hui, elles revendiquent le droit de faire des choix. Nous avons donc souhaité élargir le débat en nous demandant comment les personnes déficientes intellectuelles peuvent participer à la vie de la cité tout en étant accompagnées. Que met-on en place pour recueillir leurs souhaits ? Cela renvoie aux notions de participation sociale et d’autodétermination. Ces notions nous concernent tous, pas seulement les personnes handicapées. Cela pose également la question de l’espace donné a
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