J’étais intrigué par deux questions. D’une part, pourquoi s’intéresse-t-on en France d’une manière si intense à la lutte contre ces organisations ? L’Allemagne, l’Italie et l’Espagne, avec des niveaux supérieurs de pratiques, ne s’inquiètent pas autant que l’Hexagone. En sciences sociales, on appelle cela une « panique morale »(1). D’autre part, concernant les frontières du consentement, pourquoi décide-t-on que quelqu’un n’est pas en pleine possession de ses moyens et lui dénie-t-on la capacité de vouloir ce qu’il est en train de réaliser ? Je me posais déjà la question sur des sujets comme la pornographie et la prostitution, sans les étud
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