« Nous avions déjà des systèmes anti-intrusion présents depuis longtemps dans nos EHPAD, mais nous voulions couvrir un peu plus d’espaces, et surtout avoir une technologie plus récente », raconte Fabienne Heulin-Robert, directrice de l’EPMS (établissement public médico-social) d’Amiens, qui gère quatre EHPAD dans la ville. En mai 2015, cette structure a lancé un appel d’offres sur le sujet. Le facteur déclencheur ? Un chat, repéré par un détecteur de mouvements et qui avait fait sonner accidentellement l’alarme. « Nous sommes désormais passés à des capteurs installés au niveau des ouvrants. C’est plus efficace que la surveillance d’une zone d’entrée. Il faut ouvrir une fenêtre ou une porte pour que l’alarme soit donnée », explique la directrice.
Président du Syndicat des professionnels de la sûreté, de la vidéoprotection et de la détection incendie, Philippe Blin sourit de cet exemple : «
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