C’est en décembre 2013 que le projet a vu le jour au sein de l’association Advocacy France, qui est engagée dans le combat pour la reconnaissance de la parole et de la défense des droits des usagers en santé mentale. Il est parti d’un constat : le retard pris par la France dans l’application de la convention de l’Organisation des Nations unies relative aux droits des personnes handicapées, qu’elle a ratifiée en 2010 et qui a permis de reconnaître aux personnes ayant un handicap psychique un ensemble de droits fondamentaux. Et d’une conviction : les usagers en santé mentale sont les mieux placés pour repérer les obstacles et proposer des améliorations. Le défi était donc de les rendre coproducteurs de la recherche dans une per
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