Même si cela « fait maintenant plus de 25 ans que des hommes, des femmes et des enfants originaires d’Europe de l’Est, Roms pour la plupart, vivent aux marges de la société française dans des squats ou des bidonvilles », l’inclusion des quelque 15 600 personnes aujourd’hui concernées « n’apparaît pourtant pas comme une problématique insurmontable ». C’est le postulat du collectif national Droits de l’Homme Romeurope, dans un rapport rendu public le 16 février(1) et destiné aux candidats à la présidentielle, ainsi qu’aux élus et aux services de l’Etat.
Le collectif, qui regroupe plus de 40 associations et collectifs locaux, dont ATD quart monde, la Cimade, la Fnasat-Gens du voyage, Hors la rue, Médecins du monde ou le Secours catholique, réitère ses constats sur les conditions de vie toujours alarmantes dans les campements, ce malgré la pa
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