« Notre plateforme et le congrès ont un logiciel simple : la solidarité n’est pas un coût mais un investissement pour le pays tout entier et pour tout le monde », a défendu Louis Gallois, président de la Fédération des acteurs de la solidarité (nouveau nom de la FNARS), à l’occasion de la présentation à la presse, le 10 janvier, de la cinquantaine de propositions de la fédération, dont 25 « prioritaires », pour le prochain quinquennat. Lesquelles devaient être soumises aux candidats à l’élection présidentielle, ou à leurs représentants, invités à son congrès, le 13 janvier à Dijon. La solidarité est « un projet politique, une manière d’organiser l’action publique, ce n’est pas quelque chose qui se situe en annexe », a également plaidé le président de la fédération.
Un certain nombre de ces préconisations sont – preuve de la ténacité de
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