Les inquiétudes des associations sur l’avenir des mineurs pris en charge dans les centres d’accueil et d’orientation des mineurs non accompagnés (CAOMI), après le démantèlement du campement de Calais, « n’ont fait que croître avec l’annonce récente des décisions du Home Office britannique » d’appliquer des critères restrictifspour leur admission outre-Manche(1). C’est ce que soulignent dans un communiqué une quinzaine d’organisations – dont Agir ensemble pour les droits des enfants, la Cimade, DEI (Défense des enfants International)-France, Hors la rue, Unicef France ou encore le Secours catholique –, signataires d’un courrier remis le 19 novembre à François Hollande, à la veille de la journée internationale des droits de l’enfant. A la suite de cette missive, elles ont pu relayer leurs préoccupations lors d’une « une réunion organisée le 14 décembre à l’Elysée en présence des ministères concernés », dont ceux de l’I
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